Paroles de franchisés
Rejoindre Quick, c'est choisir de vivre une expérience unique. Ils sont nombreux à avoir franchi le pas.
Qui mieux qu'eux pouvait nous parler de leur quotidien ? Voici leur histoire.
Quick VÉHICULE UNE IMAGE TRÈS FORTE
Josefa Moreno, Franchisée à Liège (5 restaurants)
"J'ai commencé par travailler pour un franchisé Quick pendant huit ans. Entrée comme équipière, j'ai gravi tous les échelons, et c'est en 1997 que j'ai ouvert ma première franchise à Frankignoul, près de Liège. En 2001, j'ai repris un autre restaurant à Seraing, toujours dans l'agglomération liégeoise. En décembre 2008, j'ai ouvert un nouveau Quick à Hognoul, dans la commune d'Awans, puis je me suis lancée dans l’aventure du Quick de Flémalle. C’est le plus grand, et cette fois, il s'agit d'une création, avec un concept architectural assez novateur. J'en suis particulièrement fière. Récemment, j’ai aussi pris à ma charge la gestion du restaurant Quick à Belle Île.“
Quick véhicule une image très forte en termes de qualité des produits, d'hygiène et de sécurité alimentaire, mais aussi sur le plan humain : chez Quick, on fait beaucoup pour que les collaborateurs travaillent dans de bonnes conditions ; nos clients le sentent et y sont sensibles.
Pour motiver les managers de mes restaurants, je leur laisse une certaine latitude d'action. Dans le domaine du marketing, notamment, je les laisse gérer les opérations réalisées avec les écoles. De façon générale, je leur apprends le métier, mais je les encourage aussi à prendre des initiatives, et ils restent responsables de leurs résultats.
Pour tout ce qui concerne la formation du personnel, nous nous appuyons sur les dispositifs mis à notre disposition par la compagnie. C'est un support précieux."
L'INTÉGRATION LOCALE ET CITOYENNE
André Custers, Franchisé à La Hulpe
"Mon premier pari, en reprenant le Quick de La Hulpe, en novembre 2005, était de faire aboutir le projet d'agrandissement du restaurant. Pour réussir cette mission, un seul mot d'ordre : aller au contact des voisins, riverains, associations, décideurs locaux, etc. pour expliquer mon projet et son intérêt pour la communauté. Concrètement, je sponsorise le club de foot, et j'offre le meilleur service possible pour que les gens aient envie de revenir. Le franchisé Quick doit devenir le partenaire incontournable de sa ville ou de sa région. Cette intégration est possible grâce à la force du système : le franchisé développe des initiatives locales, le soutien et la force de frappe de Quick permettent de les réaliser. Le franchisé est un véritable acteur local ouvert sur son environnement : il embauche en priorité des jeunes de la région, il veille au respect de l'environnement en assurant une bonne gestion des déchets et des odeurs, il s'intègre dans le tissu social local grâce à son sens des contacts."
En 1988, André répond à une annonce d'embauche d'assistant manager au Quick de Wavre. Jusqu'en 2002, il évoluera au sein du Groupe et quittera son poste de consultant franchise pour ouvrir un restaurant traditionnel à Louvain-la-Neuve. En 2005, une envie d'indépendance le pousse vers la franchise. De façon naturelle, il postule chez Quick. Une fois sa candidature acceptée, une opportunité se présente un mois plus tard avec la reprise du Quick Mazerine de La Hulpe. Pour lui, Quick est un partenaire fort, avec qui il partage les mêmes visions de management.
LES RESTAURANTS ANVERSOIS RENFORCENT LES INITIATIVES LOCALES
Piet Vandenbussche, Franchisé à Kapellen
Piet Vandenbussche est franchisé du Quick de Kapellen. Il a toujours été actif au niveau du marketing local, mais début 2007, tout s’est accéléré. "À ce moment, on a signé un contrat de trois ans avec l’équipe de basket Antwerp Giants. Un club ambitieux comme nous !" Les douze restaurants du "Cluster" anversois ont groupé leurs forces pour réaliser ce partenariat. Ils pouvaient compter sur le soutien de la direction nationale. Le contrat donne la possibilité d’attirer et fidéliser les clients par des actions comme les "cartes d’épargne" pour gagner des tickets d’accès aux compétitions, des T-shirts ou des rencontres avec des joueurs. Cette stratégie locale est encore renforcée par de nombreuses autres actions. Le Cluster Anversois a également mis sur pied une formule de participation à des évènements locaux d’écoles et d’associations tels que des compétitions, des braderies, des journées portes ouvertes, des mailings de promotions, etc.
Et Piet de rajouter : “La direction Quick en Belgique nous soutient complètement dans nos efforts pour faire du marketing local.”
Piet est diplômé en comptabilité. En 1985 il répondait à une annonce de Quick pour y commencer sa carrière à l’âge de 26 ans. Après seulement cinq mois, il recevait l’offre de gérer lui-même un restaurant au centre d’Anvers. Il géra ensuite également d’autres restaurants Quick dans la métropole. Jusqu’en 1990 où il devint franchisé et ouvrait le Quick de Kapellen, qu’il exploite encore aujourd’hui.
LES FRANCHISÉS BELGES ONT À NOUVEAU ENVIE D'ENTREPRENDRE
Olivier Chiliade, Franchisé à Namur (3 restaurants) et Louvain-la-Neuve
"Les franchisés en Belgique sont actuellement dans une démarche de chiffre d'affaires : comment le développer, augmenter le trafic des consommateurs au sein des restaurants."
"Nous ne sommes plus dans une seule logique de gestion ni sur la défensive, nous avons soif d'entreprendre et d'évoluer. À la bonne vitesse et au bon endroit, dans un esprit de croissance raisonnée et intelligente. Les raisons de cette reprise sont multiples, mais citons principalement la confiance dans l'équipe de management de Quick, qui a rendu la société rentable et redonné la motivation aux franchisés. Quand le franchiseur est fort financièrement, agressif commercialement et innovateur, le franchisé se porte bien également. Cette bonne santé des deux partenaires permet d'être à nouveau offensif.”
"L'important, ce sont les hommes." Pour Olivier, bien s'entourer, former un bon Manager à qui on donne une grande autonomie, responsabiliser les équipiers sont les secrets du métier. “Ce sont eux qui font tourner la boutique, il faut donc bien les coacher.”
Sa priorité est de créer des emplois et de donner des perspectives d'avenir à des gens qui en ont réellement besoin. À Belgrade, il a créé une vingtaine d'emplois. “Quick est une société citoyenne, qui contribue à l'emploi des jeunes”, conclut-il.
Après une licence en psychologie à l'UCL (Université Catholique de Louvain), Olivier veut très vite être autonome financièrement. Une petite annonce d'assistant manager chez Quick le persuade. C'est son premier salaire. Son évolution au sein de la chaîne sera exemplaire : de Manager, Training Manager, ensuite District Manager, il devient Consultant Franchise. En 1997, il reprend le Quick de Namur centre-ville en franchise ; un an et demi après, celui de Champion. Soutenu par une marque porteuse et qu'il connaît sur le bout des doigts, il vit “un vrai bonheur”. Fin 2005, il ouvre le tout nouveau Quick de Louvain-la-Neuve, en plein cœur du quartier piétonnier de la nouvelle ville. Suivra en 2015 le Quick de Belgrade.
LES COLLABORATEURS SONT MA PREMIÈRE VALEUR
Didier Dubois, Franchisé à Bruxelles
"L'entreprise doit être exemplaire envers ses salariés et la société tout entière. Quick prend très à cœur sa Responsabilité Sociale d'Entreprise. Il a été précurseur dans certains domaines, l'affichage des allergènes par exemple. La marque offre aux franchisés des outils clés en main qu'il est de notre devoir de répercuter. Je pense notamment à la formation, aux mesures de gestion des eaux usées, au tri des déchets, aux avancées nutritionnelles comme l'allègement des sauces des burgers, à l'origine identifiée des poissons..."
"Chaque franchisé doit s'approprier ces mesures, puis aider ses collaborateurs à se les approprier à leur tour : ce sont eux qui sont en contact direct avec les clients et qui seront, ensuite, les meilleurs relais et défenseurs des efforts de la marque. Chaque restaurant a donc un rôle éducatif à jouer, d'autant que la plupart des collaborateurs sont jeunes ! L'encadrement notamment doit avoir une attitude irréprochable."
"Je le revendique : mes collaborateurs sont ma première valeur. Je commence la sensibilisation dès l'embauche. Chaque arrivant bénéficie d'un plan de formation en 12 mois, destiné à parfaire sa connaissance du métier. Déchargement des camions, grill, accueil, stockage, mise en place... Chacun passe par tous les maillons de la chaîne. L'information passe le plus souvent par des réunions, mais je la délivre parfois individuellement. Et je n'oublie jamais qu'en tant qu'employeur, mon premier devoir est de respecter mes collaborateurs. D'accepter, par exemple, des aménagements d'horaires pour les étudiants en période d'examens."